Batman
Le milliardaire Bruce Wayne et son pupille Dick Grayson mènent une double vie dans laquelle ils sont Batman et Robin, justiciers masqués. À l'aide d'une large panoplie de gadgets et véhicules (bat-bouclier, Batmobile, Bat-copter, Bat-canot, bat-grappin…) ils combattent le crime dans la ville de Gotham City et ...
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Terminée | Américaine | 25 minutes |
Action, Aventure, Comédie, Adventure, Comedy, Crime, Family, Fantasy, Science-Fiction, Suspense | ABC (US) | 1966 |
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2.18 - Un candidat emballé
Dizzoner the Penguin
After escaping the Penguin’s death trap, Batman still faces an uphill run to defeat the Penguin in the race for mayor of Gotham City. The Feathered Fiend uses every dirty trick he can think of to ruin Batman’s reputation. But the Penguin discovers opinion polls aren’t what they are cracked up to be. Still, Batman and Robin will need to subdue the villain before his plot can be put down once and for all.
Diffusion originale : 03 novembre 1966
Diffusion française :
03 novembre 1966
Réalisat.eur.rice.s :
Oscar Rudolph
Scénariste.s :
Stanford Sherman
Guest.s :
Burgess Meredith
,
George Furth
,
Woodrow Parfrey
,
Murray Roman
,
Dennis James
,
Joe E. Tata
,
Cindy Malone
,
Judy Parker
,
Linda Meyers
,
Don Wilson
,
Chet Huntley
,
Allen Ludden
S’il n’avait fallu juger que la 1er partie, ce double épisode aurait une note top. Le Pingouin qui brigue un poste de Maire et qui joue la carte d’une campagne basée sur le populisme, l’apparence, les bisous aux bébés, les réunions festives et les jolies filles (les « friandises » comme le dire le résumé de l’épisode 2) et que cela marche, tandis qu’en face de lui, se présente Batman et sa politique rigide et austère, qui se retrouve à tenir des discours ennuyeux dans des salles quasi vide, c’est extrêmement jouissif.
Dommage donc que la 2ème partie soit moins inspirée (à part l’interview des candidats en pleine bagarre ou la combinaison recouvert d’un spray anti-acide) et retombe dans la routine de la série.
Néanmoins, cet épisode a du bien inspiré le Batman, le défi de Tim Burton, déjà au niveau de l’intrigue, mais aussi concernant la machine à emballer, création phophétiquement très burtonnienne dans le look.